Les élus du SNES-FSU ont lu cette déclaration et sont intervenus à de multiples reprises.

 

Ils ont tenté une nouvelle fois d’obtenir des postes supplémentaires par réinjection des postes bloqués pour les stagiaires (100 au total).

 

Ils ont en particulier souligné le manque de fluidité du mouvement intra et dénoncé la concentration des stagiaires sur certains établissements (6 aux Martres de Veyre).

 

Ils ont demandé à l’Administration de soumettre au vote la mise au mouvement d’un poste de lettres modernes créé en CTA puis bloqué par l’Administration sur lequel aurait pu être affecté un collègue avec un fort barème. L’ensemble des organisations syndicales s’est prononcé pour à l’exception du SNALC !

 

Ils ont également demandé la fin du dispositif ECLAIR ainsi que la limitation du nombre de postes spécifiques.

 

Ils ont obtenu la garantie que certaines situations seraient réexaminées au cas par cas lors du GT d’affectation des TZR le 12 juillet.

 

En ce qui concerne les stagiaires, le secrétaire général estime le principe d’une décharge comme acquis sans préciser la quotité horaire. Le SNES a obtenu qu’ils soient libérés une journée entière par semaine à la rentrée : ce sera le jeudi (et non plus le mercredi) conformément à notre revendication.

 

De plus, suite à notre intervention, les stagiaires ne devraient pas avoir de correction d’examen à assurer à compter de cette session !

 

Le SNES-FSU a rappelé que toute tâche supplémentaire effectuée par les stagiaires doit être rémunérée en HSE, n’en déplaise à certains chefs d’établissement.

 

Nous avons en outre redemandé la tenue d’un GT d’affectation pour les stagiaires.

 

Concernant les TZR, statistiques à l’appui, le SNES a démontré qu’une grande majorité d’entre eux ne peut toujours pas obtenir de poste fixe. Ils ont jusqu’au début de semaine pour envoyer leurs préférences sur leur ZR par mail à Ce.drh@ac-clermont.fr (avec copie au SNES à s3cle@snes.edu). Les GT d’affectation se tiendront les 11 et 12 juillet prochains.

 

A l’issue des commissions, les syndiqués ont reçu un mail et un SMS. En outre, ils peuvent se connecter à l’espace adhérent du site national.