
On nous dit souvent que l’on fait le plus beau métier du monde. D’aucuns considèrent que c’est une vraie vocation ! Et puis, les vacances, la garantie de l’emploi… Mais ces poncifs ont un effet pervers : pourquoi revendiquer pour nous-mêmes alors ? Pour nos conditions de travail, pour nos salaires, pour nos carrières… si le métier est si estimable ?